Notre aventure lactée : L’allaitement pour nourrir notre enfant




Il y a un mois désormais, Nathanaël a eu 1 an : Un an que nous avons commencé cette douce aventure lactée ensemble …  
Je pense qu’il m’était impossible d’imaginer ça quelques années auparavant …!!… et pourtant ! 

Avant de commencer cet article, j’aimerais vous informer que, comme tous les posts que je mets d’ailleurs…

 il s’agit de NOTRE expérience et de NOS choix.

Je ne juge pas ces (futures) mamans qui ne souhaitent pas allaiter : chacun est libre de faire et de donner ce qui lui semble être le mieux pour son enfant. 
Nous ne sommes pas ici pour se juger mutuellement mais bien pour partager nos diverses expériences. N’oubliez pas : vous êtes toutes des supers mamans ! 

Même moi au départ, vous le lirez, j’étais loin de penser allaiter un jour !  

& puis aujourd’hui, faire cet article sur l’allaitement m’a paru une évidence quand j’ai voulu lancer mon blog car je n’ai été que trop peu informée sur ce sujet … 
J’ai appris au jour le jour, par les signes dont Nathanaël me faisait part, par mon intention de maman mais aussi par toutes ces jolies et jeunes femmes que l’on peut côtoyer sur les réseaux sociaux. 
Je pense notamment à la bienveillante Léa de la chaine et du blog Jenesuispasjolie dont le petit Gaspard n’a que quelques semaines de plus que Nathanaël, à la pétillante Océane (Inantesyou sur Instagram, vosgienne de coeur tout comme moi!) ou encore à la naturelle et chaleureuse maman Mayane de la chaine Youtube & du compte Instagram Apasdemoa dont je ne cesserai de vous recommender les vidéos !



Les premiers pas . . . 

Pendant ma grossesse, j’ai suivi chacun des cours proposés pour la préparation à l’accouchement (oui, j’étais assez studieuse avec mon petit cahier et je notais absolument tout !). 

Lorsque ma sage femme m’a demandé si je souhaitais allaiter lors de notre première séance, je lui ai répondu tout naturellement que je n’en savais rien, je n’y connaissais rien ! (Bon, j’y connais toujours pas grand chose mais déjà beaucoup plus !). 
Elle m’a donc inscrite aux deux cours : celui sur les biberons et celui sur l’allaitement afin que je puise faire mon choix même si, comme on vous le dira souvent, tout se joue souvent au dernier moment : c’est à dire après l’accouchement (& encore …!). 

Je savais que, peu importe ma décision, elle devait être en harmonie et en accord avec ce que l’on souhaitait pour notre enfant & qu’elle devait surtout lui être adaptée (je parle plus pour le lait industriel dans ce cas là). 

Lors du cours concernant les biberons, tout me paraissait très simple, très « carré » finalement : des biberons à heures fixes, une dose pré établie en fonction des jours de vie de bébé … 
Bref, tout pour être finalement le moins stressée possible & cela m’allait très bien étant donné que je suis une grande anxieuse ! 
Mais bon, les divers et récents scandales sur la présence de bactéries & la composition chimique de ces laits pour « ressembler » au lait maternel ne me plaisait guère. 

Et pourtant, les tétées, elles, me paraissaient si floues … Lors de ce cours, j’ai uniquement retenu une chose : il fallait 


« s’écouter & écouter son enfant. Lui faire confiance » 


Sincèrement, plus facile à dire qu’à imaginer quand tu n’as déjà pas confiance en toi ! 
Et puis, je me suis renseignée. 
J’ai lu, j’ai appris et j’ai surtout compris que :

le lait maternel était un 
lait merveilleux aux milles nutriments et vertus
qu’il est ce qu’il y a de plus naturel et finalement de meilleur pour notre enfant. 

Je trouvais ça tout simplement magique d’être capable de le produire de manière autonome pour nourrir mon bébé. 

Mais je n’avais aucun modèle ni personne proche dans mon entourage qui avait allaité : personne à qui donc poser toutes ces questions que tu as lorsque tu attends ton enfant. 

« Est ce que ça fait mal ? » , « Quels sont les remèdes ? », « Est ce qu’il y a encore des aliments interdits comme pendant la grossesse? », « La fréquence? », « Les volumes? » … (oui oui, je ne connaissais pas encore la chaîne Youtube Aspasdemoa!!). 

Bref, finalement, je me suis dis que je verrais quand viendrait ce moment du peau à peau : celui que j’attendais avec impatience & qui permet souvent à l’enfant de trouver, par lui même, le sein. 
C’est souvent ce contact qui lance la lactation et qui va permettre au colostrum d’arriver. 


À la naissance de Nathanaël, nous n’avons pas pu avoir ce contact privilégié tant attendu étant donné notre rapide séparation.  
J’ai donc pensé qu’il n’y avait plus aucune chance possible pour que mon allaitement fonctionne… 
De plus, aucun tire lait ne m’a été clairement expliqué de manière à ce que je puisse commencer à produire ma lactation seule. 
Nous avions l’impression que personne n’était vraiment informé à ce sujet  &cela paraissait être un vrai casse tête pour nous en prêter un. 
Nous nous sommes donc débrouillés avec « les moyens du bord »; c’est à dire, les coquilles d’allaitement & puis l’expression un peu manuelle … 

À nos retrouvailles au sein du service de réanimation de néonatalogie, la sage femme m’a demandé si je souhaitais allaiter malgré le fait qu’il ait deja eu des biberons de lait le temps de mon transfert. 
Soulagée, j’ai souri discrètement car j’ignorais si cela était encore possible. Franchement, je n’y croyais pas ou plus ! 
Pourtant, au fond de moi, je sentais que ce serait ce lait & ces moments que nous aurions qui l’aideraient à s’en sortir, à lui donner toute la force et le courage dont il avait besoin. 
Blotti contre moi, le petit coeur de Nathanaël s’est regulé et apaisé & puis, comme par automatisme, il a trouvé seul le sein. 
La première sensation est étrange, nous n’allons pas nous mentir ! mais sans douleur pour ma part. 


Même à J+3, il m’a donc été possible de lancer ma lactation & ce, malgré la séparation que nous venions de vivre. 
J’ai eu une ma première montée de lait le soir même. Comme quoi, le corps humain est vraiment bien fait ! 



Les douleurs et solutions . . . 

L’ocytocine est l’hormone qui joue un grand rôle dans le processus de lactation. 
C’est elle qui va notamment avoir ce rôle de stimuler des contractions utérines : très utile & donc favorable pendant l’accouchement mais aussi après avec l’allaitement. 
En effet, l’ocytocine est libérée par l’hypophyse dès qu’il y aura signal, stimulation & donc en gros « tétée » déclenchant ainsi le processus de lactation & donc l’arrivée du lait. Il est donc possible qu’elle donne cet effet de contraction comme lors du début du travail. 
Les premiers temps, j’avoue avoir ressenti une petite gène : rien de désagréable et de comparable à l’accouchement mais je sentais que concrètement quelque chose bougeait dans mon ventre. 
En réalité, ces « contractions » vont permettre à l’utérus de reprendre plus rapidement sa place & sa taille et vont réduire considérablement le risque d’hémorragies. 

Par ailleurs, la prise du sein par le nouveau né peut être les premiers temps synonyme de douleur : 
A ce niveau là , il est vrai que j’ai eu énormément de chance… Nathanaël a tout de suite pris correctement le sein.
Je n’ai jamais eu aucune crevasse, tétée douloureuse ou autre désagrément de l’allaitement (bon sauf un ou deux engorgements… Je ne suis pas exclue de tout quand même!).  
Il existe de nombreuses positions pour allaiter correctement & sans douleur : n’hésitez pas à demander conseils à votre sage femme ou conseillère en lactation. 

En prévention, j’avais tout de même dans ma petite trousse de soin :


La crème CASTOR EQUI prescrit par ma sage femme (Attention : elle doit être rincée avant chaque tétée) 

ainsi que celle de chez LANSINOH achetée en pharmacie (qui, elle, n’a pas besoin d’être rincée). 



Sincèrement, j’ai appliqué un peu des deux en privilégiant celle de chez LANSINOH à la maternité lors des premiers jours. 

Il m’arrivait aussi tout simplement de faire sortir manuellement un peu de lait et de l’étaler de la même manière afin de cicatriser et protéger cette zone. 
C’est finalement une très bonne méthode également : économique & naturelle! 

On m’avait également parlé brièvement des bouts de sein en plastique en cas de douleur et de tétées devenues très inconfortables. 
Ça peut paraitre magique mais en réalité, c’est un risque caché de ce qu’on appelle « la confusion sein/tétine », entrave au bon développement de la lactation. Cette confusion peut intervenir à n’importe quel moment : à la première fois comme à la centième.  
Je n’en ai donc jamais utilisé. Par ailleurs, nous n’avons jamais donné de biberon ou de tétine à notre enfant : j’écrirai un article sur ces points prochainement car ils ont suscité énormément de réactions vives et d’incompréhension de la part de notre entourage. 


Les tétées dans la « vraie vie » . . . 


Sur ce sujet, il y a souvent deux camps totalement opposés. 

Ceux qui vont vous dire qu’il faut « régler les tétées »; c’est à dire toutes les 2 ou 3 heures par exemple, laissant ainsi le temps à bébé de digérer ce qu’il vient de boire. 

Et ceux qui diront qu’il faut, une nouvelle fois, écouter son enfant et que l’allaitement se fait à la demande


Quand on vient de donner naissance à son petit amour, on ne veut souvent que le meilleur pour lui mais on reste, tout de même, un peu perdue (voir complètement face à toutes ces paroles!). 

Concrètement, je pense que le plus important est d’être bien entourée, bien informée sur ce sujet. 
Il existe de nombreuses consultantes en lactation formées IBCLC (la seule certification reconnue au niveau internationale en matière d’allaitement), 
des conseillères disponibles par mail ou téléphone grâce à la Leche League
des associations remplies de personnes allaitantes & bienveillantes comme « Notre Allaitement » dont je suis fière de faire partie
ou encore la super sage femme qui t’aura suivie 
ou même un bon pédiatre (pas celui subventionné à 1000% par  les laboratoires de grands groupes et qui t’offre des sachets de lait en poudre à chaque visite). 

À la maternité, nous avons écouté notre bébé, ses besoins et surtout ses signes en lui donnant le sein à chaque fois qu’il le réclamait. Cela nous paraissait « normal » & logique. 

Mais dès notre retour à la maison, tout a changé. 

Nathanaël avait des fortes douleurs constantes chaque jour. Il se tordait en hurlant, pleurant à chaudes larmes et c’était invivable pour nous de rester ainsi impuissants. 
Lorsque nous sommes allés au premier RDV (celui juste après la sortie de maternité) chez la pédiatre, nous nous sommes clairement fait « incendier ». 
Elle nous a dit que nous n’allions pas tenir ce rythme de lui donner constamment le sein, que nous allions nous épuiser et puis qu’il était primordial d’espacer les tétées au minimum toutes les 2 voire 3 heures. 

Bêtement, nous avons écouté. 

Pendant quelques jours, nous avons essayé d’espacer les tétées pour le « bien » de Nathanaël comme suggéré par la pédiatre. Incompris, notre petit ange hurlait davantage. 
Cela n’a été que de brève durée, mon coeur de maman saignait à chaque hurlement et celui de son papa encore plus. 

Nous avons changé de pédiatre après qu’elle lui ai donné, sans examen, de l’inexium et du gaviscon à forte dose, pour soulager ses pleurs. Nathanaël, contrairement à d’autres enfants qui, peut être, en ont véritablement besoin, développait une forme d’allergie alimentaire aux protéines de lait de vache : un examen plus approfondi aurait donc été nécessaire… 
Heureusement, après ces mésaventures, nous avons rencontré LA pédiatre en or que nous espérions tant, d’une douceur et surtout d’une bienveillance extrêmes. 


L’allaitement doit se faire à la demande. 

C’est bien ce qu’il faut retenir. 
Pour que celui-ci se lance et surtout fonctionne, il est primordial de donner le sein à chaque signe d’éveil et non d’attendre une plage horaire pré définie. 


Et ce, même la nuit !!

On entend souvent qu’il faut tirer son lait pour que la maman puisse se reposer la nuit & que le papa, prenne ainsi le relais. 
Personnellement, j’étais réveillée à chaque fois donc aucune utilité ! En plus, allaiter t’aide, la plupart du temps, à te rendormir juste après la tétée grâce aux hormones produites. 

Encore une fois, chacun fait comme il semble être bon … Mais c’est souvent une idée plus qu’erronée. 

D’ailleurs, sur ce point, le cododo et surtout notre cadeau de naissance le lit Next To Me de chez Chicco fut sans aucun doute l’achat le plus utile de notre liste (À presque 1 an, nous venons juste de le ranger! Il est dispo juste ICI).   

La production du lait maternel répond à la règle de l’offre & de la demande et donc à cette stimulation exercée par bébé en tétant. 
Si bébé ne tête pas la nuit, vous allez certes vous réveiller avec des seins complètement pleins … bon super cool quand tu faisais un petit bonnet il y a quelques mois ! mais au fort risque de vous retrouvez d’ailleurs avec un joli engorgement. 

De plus, les nuits suivantes seront bien différentes … 

Votre production baissera au fur et à mesure des jours constatant que bébé ne tète plus à la même fréquence qu’auparavant. 
Par ailleurs, on entend souvent dire que les tétées dites nocturnes sont les plus nutritives : bébé tête souvent plus longtemps car moins stimulé par l’entourage et les bruits extérieurs. 
Mais surtout, la composition du lait maternel varie au cours de la journée, de la période (été, hiver) et des besoins (si votre enfant est malade par exemple). 
En fin de tétée, bébé aura souvent ce bon gras plus calorique et nourrissant que le lait du départ, souvent plus aqueux et sucré. C’est ce « lait de fin » qui va lui permettre une bonne prise de poids. 


À noter aussi que le lait maternel est un lait qui se digère extrêmement rapidement et que 

chaque tétée n’est pas que nourricière


L’odeur & la chaleur de votre corps, celles qui vont également se dégager de votre lait rappellent à votre petit être cette sécurité et douceur du liquide amniotique dans lequel il a vécu pendant 9 mois. 

C’est un  moment de réconfort & d’amour absolu qui comble tout besoin


Les premiers temps, Nathanaël était constamment au sein. 
Puis, naturellement et de son propre gré, en grandissant & souvent avec la diversification, les tétées se sont naturellement espacées même si elles sont toujours nombreuses. 


Encore une fois, il ne fait pas que manger ! Vous ne le « gavez » pas constamment même si ses petits bourrelets sont encore présents et qu’on vous dit qu’il mange correctement à la cantine ! 
Il peut juste vouloir s’apaiser contre nous ou boire un petit peu (car oui, en été par exemple, votre lait sera principalement aqueux pour répondre davantage à ses besoins : c’est la magie du corps humain!). 



& aujourd’hui ? Tu as encore du stock ?  . . . 

C’est LA question qu’on vous pose constamment. 
Autant quand ton bébé vient de naitre, tout le monde ne cesse de te féliciter pour ton allaitement, autant lorsque celui ci vient de fêter ces 6 mois, tu passes progressivement de la « bonne maman » à celle en proie aux regards malsains & incompréhensifs. 

« Tu allaites encore ? », « Mais tu comptes l’allaiter jusqu’a 18 ans ?? », « Tu as encore du lait ? », « Tu es sure qu’il est encore assez bon ? », « Ton lait n’est peut être pas assez riche et nourrissant pour lui ! », « Il ne sert plus à rien ! » … 



Le lait maternel s’adapte aux besoins de chaque enfant. 
Il n’est donc jamais « périmé » en soi ! 



Au niveau du stock, encore une fois, la production se fait en fonction de la demande qu’il y aura. 
Plus bébé tétera, plus la production sera efficace et donc le lait sera là en conséquence. 

Si vous allaitez toujours, il n’y a donc que peu de chance pour que ca diminue d’un coup ! 

En cas de petits coups de mou (oui ça arrive, notamment si nous sommes trop fatiguées ! Attention, ce n’est pas l’allaitement qui fatigue mais bien l’arrivée d’un nouveau né!), je bois des tisanes spéciales allaitement de chez Weleda. Elles sont, pour moi, très efficaces et je les adore ! 

Au tout début, j’avoue que j’avais énormément de « stock ».
J’étais donc obligée de tirer mon lait en plus des tétées. 

Pour se faire, j’utilisais (ce qui est toujours le cas lorsque j’en ai besoin) un tire lait de chez Kittett loué en pharmacie. 
Grâce à l’ordonnance de votre médecin, gynécologue ou sage femme, il est entièrement pris en charge par la sécurité sociale : très pratique lorsqu’on regarde le prix à l’achat d’un tire lait électrique. Seul le kit plastique (embout et flacons) est unique et donc vendu séparément lors de cette location. 
Attention toutefois à prendre la bonne taille de téterelle (l’embout qui ira sur votre sein) : si celle ci est trop grande, l’aspiration ne fonctionnera pas (la pharmacie vous donne souvent la taille « standard » & personnellement, elle n’allait pas du tout !!). 
Sur le site Kitett, plusieurs tailles sont disponibles : il suffira de signaler celle qui vous correspond à la pharmacie : n’ayez donc pas peur de leur dire ! 

La question du sevrage, même si elle a due être évoquée à contre coeur par un moment, n’est plus d’actualité. 
Nous vivons chaque tétée au jour le jour & au bon vouloir de Nathanaël. 
L’idée du sevrage naturel me plait beaucoup … À voir si nos envies futures, les siennes mais aussi les miennes, iront dans ce sens. 
Pour le moment, nous ne sommes pas prêts d’arrêter ce joli chemin. 


Mon petit mot de fin . . . 

L’allaitement est sûrement la plus douce & indescriptible aventure dans laquelle je n’aurais imaginé m’emporter. 
Elle nous apporte énormément, à tous les deux, dans notre quotidien et nous fait grandir un peu plus chaque jour. 

C’est NOTRE moment privilégié : celui qui nous rassure et nous procure toute cette dose d’amour dont nous avons besoin. 
Elle nous permet de vivre ce moment de peau à peau que nous n’avions pu avoir à la naissance. 

Il est également important de savoir qu’un bon allaitement est aussi et essentiellement un bon travail d’équipe

Maman/ Bébé 
mais aussi Maman/Bébé & PAPA (qui est loin, très loin d’être oublié ! Ne vous fiez pas aux apparences!). 

Le soutien & les câlins de votre moitié est un réel plus sur ce chemin lacté. Vous en aurez besoin. Sans son soutien, sa confiance et son amour, je pense que cet allaitement aurait pu prendre une toute autre tournure. 

Mais malgré tous ces instants de bonheur, l’allaitement reste un combat quotidien aux multiples facteurs : douleurs, pics de croissance, doutes ou encore remarques de l’entourage sont autant de causes d’échec que de découragement possible…


N’ayez donc pas peur d’en parler, vous n’êtes pas seules 
& il n’existe aucune question idiote.


Depuis quelques mois, un projet à l’initiative de Mayane (Apasdemoa) a vu le jour sur les réseaux sociaux et notamment Instagram : « Normalisons l’allaitement » devenu récemment l’association « Notre allaitement ». 
Comme des centaines d’autres mamans allaitantes, j’en fais partie au titre d’ambassadrice. 
À notre petite échelle, grâce aux divers partages, à cette écoute, ces échanges et rencontre & par ce petit article également, nous essayons de décrire notre aventure lactée afin qu’elle puisse aider d’autres (futures) mamans. 
C’est un projet qui me tient réellement à coeur, de par mon histoire. 

Aujourd’hui, je sais que l’allaitement est une des plus belles choses, dans mon rôle de maman mais aussi de femme, qui m’a été permise de vivre. 
À condition une nouvelle fois, de pouvoir être bien entourée et informée sur le sujet. 
Et puis, pour les timides comme moi, il y a une super communauté bienveillante de mamans allaitantes sur internet, toujours prête à dialoguer ! 

Pour finir cet article (un peu long je suis désolée!! ), c’est tout naturellement la fille qui a surement le moins confiance en elle qui vous dit donc les quelques mots suivants (comme quoi ! ) : 
Un bon état d’esprit mais surtout une confiance en soi (même minime) et en ses capacités (oui, on est capable de nourrir son enfant) est primordial pour réussir son allaitement. 


Ne doutez pas, faites vous confiance & faites confiance à votre enfant. 



Je vous souhaite de doux moments en famille & de belles tétées, 


Tout plein d’amour. 

Macha 

Aucun commentaire

Enregistrer un commentaire

Professional Blog Designs by pipdig